Dans les dunes du ciel
Touaregs incessants
Camelant, tire d'aile
Marchant, marchant, marchant
Ou volant, ou nageant, c'est là
Que nous nous retrouvons
Partout et nulle part
Nous tournons en rond
Dans l'univers, dans la mer
D'étoiles. La lune saigne
Ce soir, elle veut taire
Sa souffrance, fière
Et au creux de tes yeux
Je meurs si lentement
Je fonds, dans le grand feu
Des sorcières du temps
28/03/2016
lundi 28 mars 2016
dimanche 27 mars 2016
Lettres à Toi.
Lettres à Toi,
Où que tu sois aujourd'hui
Où que tu n'aies jamais été
Dans le creux de mes bras boisés
Au fond d'un soleil
Sur le haut d'une merveille
Je ne sais plus, penser est un acte qui m'est
Impossible, inaudible, inacceptable, et
En toi je me reconnais
Dieu, ou son successeur, se sont tirés
C'est en nous qu'il faut les trouver
Et de là, tu nais.
Tu n'es rien d'autre qu'un autre moi-même
A la recherche d'une autre âme blème
Et blafarde qui coule dans le sang de la nuit
Dans l'eau bioluminescente des étoiles, tu luis
On voit tes formes, alléchantes
Et des lendemains qui chantent
Derrière le chaos et la mort,
La destruction du dehors
Fous, fous qu'ils sont et que nous sommes
D'autres nous autres en somme
C'est là que j'écris ton nom :
Dans un verre d'alcool
Et sur une montagne au son
De caracole
Au fond
Des yeux d'une folle
Qui tire les cartes et lit dans les lignes de la main
Qui vois ton avenir dans le détour de rien
D'un rein ou d'un foie malade
D'une existence fade
Qui s'épice.
27/03/2016
Où que tu sois aujourd'hui
Où que tu n'aies jamais été
Dans le creux de mes bras boisés
Au fond d'un soleil
Sur le haut d'une merveille
Je ne sais plus, penser est un acte qui m'est
Impossible, inaudible, inacceptable, et
En toi je me reconnais
Dieu, ou son successeur, se sont tirés
C'est en nous qu'il faut les trouver
Et de là, tu nais.
Tu n'es rien d'autre qu'un autre moi-même
A la recherche d'une autre âme blème
Et blafarde qui coule dans le sang de la nuit
Dans l'eau bioluminescente des étoiles, tu luis
On voit tes formes, alléchantes
Et des lendemains qui chantent
Derrière le chaos et la mort,
La destruction du dehors
Fous, fous qu'ils sont et que nous sommes
D'autres nous autres en somme
C'est là que j'écris ton nom :
Dans un verre d'alcool
Et sur une montagne au son
De caracole
Au fond
Des yeux d'une folle
Qui tire les cartes et lit dans les lignes de la main
Qui vois ton avenir dans le détour de rien
D'un rein ou d'un foie malade
D'une existence fade
Qui s'épice.
27/03/2016
mercredi 23 mars 2016
Dans le doute
Dans le doute des songes j'égrène des cailloux
Des photos qui me rongent et des moments trop doux
Des fibres de diamants à l'âme des anciens
Des zéphyrs lancinants et des croûtes de rien
Ou étais-tu, mon ange? Dis-moi que tu existes
Dis-moi que ça démange et que ça va trop vite
Dis-moi que tu as peur, car la peur est un son
Une bête, une fleur, une vieille chanson
Et là, dans les étoiles, dans le doute de tout
J'étais assis, tu sais, le voile était si doux
Que j'ai prié, ô, dieux, oui j'ai prié le ciel
Qu'un jour l'agencement montrerait ses merveilles
Qu'un jour nous serions tous dissous en un seul coeur
Et que ce jour les fous seraient premiers vainqueurs
Car je suis fou, je suis mort de la vraie folie
Celle de vivre trop et de rêver la nuit
23/03/2016
Des photos qui me rongent et des moments trop doux
Des fibres de diamants à l'âme des anciens
Des zéphyrs lancinants et des croûtes de rien
Ou étais-tu, mon ange? Dis-moi que tu existes
Dis-moi que ça démange et que ça va trop vite
Dis-moi que tu as peur, car la peur est un son
Une bête, une fleur, une vieille chanson
Et là, dans les étoiles, dans le doute de tout
J'étais assis, tu sais, le voile était si doux
Que j'ai prié, ô, dieux, oui j'ai prié le ciel
Qu'un jour l'agencement montrerait ses merveilles
Qu'un jour nous serions tous dissous en un seul coeur
Et que ce jour les fous seraient premiers vainqueurs
Car je suis fou, je suis mort de la vraie folie
Celle de vivre trop et de rêver la nuit
23/03/2016
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